“…Pensée… Pesée d’un perpétuel inachèvement – d’où la permanence de la plénitude. Il y a dans l’écriture de Jean Anguera ce qui nomme l’essentiel : l’exigence de la respiration, de l’apesanteur, de la stase. La réponse constante à cette unique question : d’où vient le geste. Son résultat, la sculpture, n’est qu’accident ; ce qui arrive, ce qui est là de la matière…”(René QUINON pour le catalogue de la collection Mémoires).
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“Cette sculpture, je la regarde comme infigurée et infigurable, je l’écoute qui meurt et vit en même temps, qui « meurt de ne pas mourir ». C’est cette existence ambigüe dont vivent les personnages d’Anguera qui rend ceux-ci, par-delà toute philosophie dont s’orne la sculpture, si incertains de leur être dans l’apparence qui est la leur.” (Salah Stétié in “Jean Anguera, Sculpteur de l’impalpable” éditions Kallimages)